ÁO DÀI et NÓN LÁ Icônes de l’élégance et de la tradition vietnamienne
Découvrez l’histoire, la signification et les secrets de l’ao dai et du non la, les deux symboles incontournables du Vietnam. Origines, couleurs, matières, différences Nord-Sud, FAQ et galeries d’images pour tout comprendre sur ces costumes traditionnels vietnamiens.
BLOG VIETNAM
6/17/202512 min temps de lecture
L' ÁO DÀI, robe longue et fluide, et le non la, chapeau conique emblématique, incarnent ensemble l’âme du Vietnam. Ces deux éléments du costume traditionnel vietnamien symbolisent à la fois l’élégance, la féminité et l’identité nationale. Portés lors des grandes occasions ou dans la vie quotidienne, ils fascinent par leur histoire, leur diversité et la richesse de leurs symboliques.
LÁO DÀI: Histoire, Évolution et Significations
Origines et Histoire
L’ÁO DÀI trouve ses origines au XVIIIe siècle, sous le règne du roi Nguyen Phuc Khoat, qui imposa à la cour du Sud (installée à Phu Xuân, actuelle Hué) une tenue distinctive inspirée des costumes chinois et cham. À cette époque, le vêtement appelé ao ngu than (robe à cinq panneaux) symbolisait les vertus confucéennes et se portait ample, avec une ceinture.
Sous l’influence française, dans les années 1930, l’ao dai s’affine : la coupe devient plus ajustée et élégante, avec l’introduction de tissus occidentaux. La créatrice Cat Tuong (Le Mur) modernise la silhouette, annonçant l’ère contemporaine.
Dans les années 1950 à Saigon, le style raglan apparaît, caractérisé par une couture partant de l’encolure aux aisselles, affinant la silhouette et accentuant la féminité. Cette version fendue sur les côtés est aujourd’hui la référence.
Différences Nord/Sud
Au XVIIIe siècle, le Vietnam était divisé :
Sud (Nguyen, cour à Hué/Phu Xuân) : Ouverture culturelle, influences cham et chinoises, costumes évolutifs et colorés, naissance de l’ao dai moderne.
Nord (Trinh, cour à Hanoï/Thang Long) : Tradition confucéenne, administration centralisée, costumes plus sobres et conservateurs.
Matières et Fabrication
L’ao dai se compose d’une tunique longue, fendue sur les côtés, portée sur un pantalon large. Les matières varient : soie naturelle (prisée pour sa légèreté et son éclat), coton, polyester ou brocart selon l’usage et le budget.
Origines et Histoire de l’Ao Dai
L’ère du roi Nguyen Phuc Khoat (XVIIIe siècle)
L’ÁO DÀItrouve ses racines sous le règne du roi Nguyen Phuc Khoat, qui imposa une tenue distinctive à la cour du Sud du Vietnam. À cette époque, le vêtement était influencé par les costumes traditionnels chinois et cham.
L’ao ngu than (robe à cinq panneaux)
Cette version ancienne comportait cinq pans de tissu, symbolisant les cinq vertus confucéennes, et se portait avec une ceinture. L’ao ngu than était ample, couvrant le corps, et souvent porté avec un pantalon large.
L’influence française et la modernisation (années 1930)
Sous l’influence de la colonisation française, l’ao dai s’affine : la coupe devient plus ajustée, la longueur s’allonge, et les tissus occidentaux comme la soie importée sont adoptés. Les créateurs modernisent la silhouette, la rendant plus élégante et féminine.
L’ÁO DÀI raglan (années 1950 à Saigon)
Dans les années 1950, la styliste Tran Kim a introduit la couture raglan, qui part de l’encolure aux aisselles, affinant la silhouette et accentuant la féminité. Cette version, fendue sur les côtés jusqu’à la taille, est devenue le standard contemporain.
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L’ao dai contemporain
Aujourd’hui, l’ao dai se décline en une multitude de styles : manches longues ou courtes, broderies, motifs peints à la main, tissus luxueux ou modernes. Il est porté lors des mariages, fêtes nationales, cérémonies scolaires et événements officiels.
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Où était la cour du Sud sous Nguyen Phuc Khoat ?
La cour du Sud, dirigée par les seigneurs Nguyen, était installée à Phu Xuân, qui correspond à l’actuelle ville de Hué. Phu Xuân devint le centre politique et culturel du Sud dès la fin du XVIIe siècle, puis la capitale impériale de la dynastie Nguyen à partir de 1802.
Sous Nguyen Phuc Khoat (règne de 1738 à 1765), la cour du Sud exerçait son autorité sur toute la partie méridionale du Vietnam, poursuivant l’expansion vers le delta du Mékong et consolidant son pouvoir face aux Trinh du Nord.
Images et illustrations:
Cité impériale de Hué, siège de la cour du Sud et de la dynastie Nguyen
Costume traditionnel des seigneurs Nguyen et de la cour du Sud
Comment était la situation dans le Nord à la même époque ?
Au XVIIIe siècle, le pays était divisé entre le Nord, contrôlé par les seigneurs Trinh, et le Sud, par les Nguyen. La cour du Nord (Trinh) siégeait à Thang Long (l’actuelle Hanoï). Les Trinh exerçaient le pouvoir réel, tandis que l’empereur de la dynastie Lê n’avait qu’un rôle symbolique.
Le Nord était plus marqué par l’influence confucéenne et les traditions héritées de la Chine, avec des costumes plus sobres et une administration centralisée autour de la plaine du fleuve Rouge.
Différences entre le Nord et le Sud
Pouvoir politique : Le Sud (Nguyen) développait une cour autonome à Hué/Phu Xuân, tandis que le Nord (Trinh) gardait la cour à Hanoï/Thang Long, avec un empereur Lê symbolique.
Costumes : Les costumes du Sud évoluaient plus vite, intégrant des influences cham et chinoises, annonçant l’ao dai moderne. Le Nord restait plus conservateur dans ses habits et ses rituels.
Culture : Le Sud était plus ouvert aux influences extérieures (cham, khmère, puis occidentale), alors que le Nord restait plus attaché à la tradition confucéenne et à la hiérarchie sociale stricte.
Résumé
La cour du Sud était située à Phu Xuân (Hué), tandis que le Nord était centré sur Hanoï/Thang Long. Le Sud, sous les Nguyen, a vu naître l’ao dai moderne, alors que le Nord, sous les Trinh, restait plus fidèle aux traditions anciennes. Les costumes, la culture et l’ouverture aux influences extérieures étaient donc sensiblement différents entre les deux régions
Conclusion
L’ao dai et le non la forment un duo indissociable de l’identité vietnamienne. Leur histoire, leur diversité de formes et de couleurs, et leur symbolique profonde témoignent d’un patrimoine vivant, transmis de génération en génération. Porter l’ao dai et le non la, c’est incarner la grâce, la fierté et la poésie du Vietnam, que ce soit lors d’une fête, d’un mariage ou simplement au quotidien.
Signification des couleurs
Détail des couleurs de l’ao dai et leur signification
Blanc : Symbole de pureté et d’innocence, il est traditionnellement porté par les jeunes filles, notamment les lycéennes.
Rouge : Couleur du bonheur et de la chance, elle est privilégiée pour les mariages, le Têt (Nouvel An lunaire), et les grandes célébrations.
Bleu : Associé à la jeunesse, à la paix et à la sérénité. Les nuances varient selon l’âge ou le statut.
Jaune/Doré : Autrefois réservé à la royauté, il symbolise la prospérité et la noblesse. Aujourd’hui, il est porté lors de cérémonies importantes.
Violet : Couleur de la fidélité et du romantisme, souvent portée par les femmes mariées ou lors d’événements poétiques.
Noir : Traditionnellement porté par les femmes âgées ou lors de deuils, il évoque la discrétion et la sagesse.
NB Pour le deuil, Détails :
Blanc : c’est la couleur principale du deuil dans la culture vietnamienne, symbolisant la pureté, le respect et le renoncement. Lors des funérailles, les proches du défunt portent souvent un ao dài blanc (ou une tenue blanche simple), parfois accompagné d’un bandeau blanc sur la tête.
Autres couleurs associées au deuil :
Gris clair ou beige peuvent aussi être tolérés pour les personnes plus éloignées du défunt.
Le noir, bien que plus commun dans les traditions occidentales, n’est pas traditionnellement vietnamien pour le deuil, mais il peut être porté aujourd’hui, notamment dans les grandes villes ou lors de cérémonies influencées par l’Occident.
Remarque :
Le rituel funéraire vietnamien dépend souvent de l’âge du défunt, de la région, et du niveau de modernité ou de tradition de la famille. Mais pour rester fidèle à la tradition vietnamienne, le blanc reste le choix symbolique et respectueux pour un ao dài de deuil.
Couleurs pastel : Portées par les jeunes femmes ou lors d’événements printaniers, elles symbolisent la douceur et la fraîcheur.
Prix et Variétés
Le prix varie selon la matière, la complexité du design et le savoir-faire du tailleur. Un modèle simple en tissu synthétique coûte peu, tandis qu’une pièce en soie brodée sur mesure peut atteindre plusieurs millions de VND. Les créations de designers ou de cérémonie sont les plus onéreuses.
Le NÓN LÁ : L’Artisanat du Chapeau Conique
Origines et Symbolique
Le non la, chapeau conique en feuilles tressées, existe depuis près de 3 000 ans selon les légendes et découvertes archéologiques. Il symbolise la protection, la fertilité et la tradition rurale vietnamienne. Il est porté aussi bien lors des travaux agricoles que lors des cérémonies ou avec l’ao dai.
Fabrication et Matières
Le non la est entièrement fabriqué à la main à partir de matières végétales : feuilles de latanier, de palmier, d’ananas ou de cocotier, tressées sur une armature de bambou. Sa confection nécessite une dizaine d’étapes et plusieurs heures de travail, ce qui en fait un produit artisanal authentique et écologique.
Variétés et Prix
Il existe plusieurs variantes régionales, comme le nón bài thơ de Hué, décoré de poèmes ou de motifs visibles à la lumière. Les modèles simples sont très abordables, tandis que les versions artisanales ou décorées peuvent valoir plus cher.
Le non la, chapeau conique emblématique, est l’accessoire inséparable de l’ao dai. Symbole de la vie rurale et de la féminité vietnamienne, il protège du soleil et de la pluie tout en incarnant la tradition.
Origines et Histoire
Le non la existe depuis près de 3 000 ans, selon les légendes et les découvertes archéologiques.
Il apparaît dans de nombreux mythes, notamment celui d’une déesse protectrice qui aurait enseigné aux Vietnamiens à cultiver le riz, tout en les abritant sous son immense chapeau.
Autrefois porté aussi bien par les hommes que les femmes, il est aujourd’hui principalement féminin.
Utilisation et Symbolique
Traditionnellement, NÓN LÁ protège des intempéries et sert parfois de récipient ou d’éventail.
Il est porté lors des travaux agricoles, des cérémonies ou comme accessoire de mode avec l’ao dai.
Il existe plusieurs variantes régionales, certaines ornées de poèmes ou de motifs tissés, comme le célèbre nón bài thơ de Hué.
Prix et Variétés
Le prix d’un NÓN LÁ dépend de la qualité des feuilles, du temps de fabrication et de la finesse du tressage.
Les modèles simples sont très abordables, tandis que les chapeaux décorés ou de collection peuvent coûter plus cher.
Les villages spécialisés perpétuent cet artisanat à travers le pays.
Le non la, plus qu’un simple chapeau, est un symbole de la culture vietnamienne. Pratique, esthétique et porteur de légendes, il accompagne l’ao dai pour former le duo iconique du Vietnam. Son héritage artisanal continue de traverser les générations, alliant utilité et poésie.
Depuis quand existe le non la ?
Il est mentionné dans des légendes et des découvertes remontant à près de 3 000 ans, bien avant notre ère.De quoi est fait le non la ?
Principalement de feuilles de latanier, de palmier ou d’ananas, tressées sur une structure en bambou.Combien coûte un non la ?
Les modèles simples sont très abordables, tandis que les versions décorées ou artisanales peuvent être plus onéreuses, selon le travail fourni.Existe-t-il différentes sortes de non la ?
Oui, chaque région possède ses variantes, comme le nón bài thơ de Hué, qui laisse apparaître des poèmes ou des motifs à la lumière.Le non la a-t-il une signification particulière ?
Il symbolise la protection, la fertilité et l
Depuis quand existe l’ao dai ?
L’ao dai moderne trouve ses racines au XVIIIe siècle, mais ses formes primitives sont plus anciennes, influencées par la Chine et les Chams.
Où était la cour du Sud ?
La cour du Sud était installée à Phu Xuân, l’actuelle ville de Hué, centre politique et culturel des Nguyen.
Comment étaient les costumes dans le Nord ?
Le Nord, sous les Trinh, privilégiait des costumes plus sobres et conservateurs, en accord avec la tradition confucéenne.
De quoi est fait l’ao dai ?
Principalement de soie, mais aussi de coton, polyester ou brocart selon le budget.
Combien coûte un ao dai ?
De quelques centaines de milliers à plusieurs millions de VND selon la matière, la coupe et la personnalisation.
Existe-t-il des ao dai plus chers ?
Oui, les modèles sur-mesure, brodés ou de créateurs sont nettement plus onéreux.
La couleur a-t-elle une signification ?
Oui, chaque couleur porte une symbolique liée à l’âge, au statut ou à l’occasion.
Depuis quand existe le non la ?
Le non la est mentionné dans des légendes et découvertes archéologiques datant de près de 3 000 ans.
De quoi est fait le non la ?
De feuilles de latanier, palmier ou ananas, tressées sur une armature de bambou.
Combien coûte un non la ?
Les modèles simples sont très abordables, les versions artisanales ou décorées sont plus chères.
Existe-t-il différentes sortes de non la ?
Oui, chaque région possède ses variantes, comme le nón bài thơ de Hué.
Le non la a-t-il une signification particulière ?
Il symbolise la protection, la fertilité, la tradition et la féminité vietnamienne.
Aujourd'hui sans jamais perdre dans la tradition, le Vietnam est un acteur majeu de la mode mondiale
Le Vietnam est aujourd’hui un acteur majeur de la mode mondiale, reconnu pour la qualité de sa production textile et la diversité de ses vêtements.
Des jupes fluides aux vestes cintrées, des chemisiers en dentelle aux t-shirts à rayures ou imprimés, le pays fabrique une large gamme de tenues pour femme et pour homme, répondant à toutes les tendances : casual, chic, décontracté, sportswear ou streetwear.
Matières et coupes : l’innovation au service du confort
Les vêtements fabriqués au Vietnam utilisent une variété de matières naturelles et techniques :
Lin : apprécié pour sa légèreté et sa fraîcheur, parfait pour les chemisiers, blouses et pantalons d’été.
Coton : incontournable pour les t-shirts, jeans, chemises à carreaux ou à pois, et pulls en maille.
Dentelle et broderie : très présentes sur les jupes, chemisiers, robes à volants ou tops à bretelles pour un style féminin et raffiné.
Velours : utilisé pour des pulls ou vestes d’hiver élégants.
Tissus techniques : pour les vêtements de sport, les baskets, les t-shirts imprimés et les jeans slim ou taille haute.
Les coupes sont variées : slim, fluides, oversize, taille haute ou sans manches, avec des imprimés (pois, rayures, carreaux) ou des couleurs tendance comme le kaki, le beige ou le bleu-marine. Les vêtements décontractés, comme les t-shirts, jeans, baskets, et les pulls en maille, sont particulièrement populaires pour constituer une garde-robe moderne et confortable.
Les plus grandes marques de vêtements fabriqués au Vietnam
Marques vietnamiennes leaders
Viet Tien : Fondée en 1975, c’est la marque de mode masculine la plus réputée du pays, avec plus de 1 300 points de vente. Elle propose des chemises, pantalons, vestes, jeans et vêtements casual de haute qualité, adaptés à toutes les morphologies et à tous les styles. Viet Tien est classée 3e parmi les plus grandes marques de mode d’Asie du Sud-Est.
Yody : Spécialisée dans la mode décontractée pour femme et homme, Yody mise sur des tissus innovants et durables (comme le S’Cafe à base de café recyclé). Elle propose t-shirts, polos, jeans, chemisiers, vestes, jupes et baskets, avec une forte présence nationale et une expansion internationale.
Eva De Eva : Marque féminine très populaire, connue pour ses jupes, vestes, robes, blouses et tenues modernes, souvent en lin, dentelle ou maille, avec des coupes élégantes et des imprimés tendance.
Coco Sin : Célèbre pour ses vêtements féminins, ses chemisiers brodés, ses jupes à volants, ses tops à bretelles et ses pantalons fluides, parfaits pour une garde-robe urbaine et chic.
Metiseko : Spécialisée dans les vêtements éthiques en coton bio et soie naturelle, Metiseko propose des collections pour femme et homme, alliant tradition vietnamienne et coupes modernes.
Marques internationales produites au Vietnam
De nombreuses grandes marques internationales font fabriquer leurs collections au Vietnam, profitant du savoir-faire local et des standards élevés en matière de qualité et de développement durable :
Uniqlo
H&M
Nike
Levi’s
Adidas
Pull&Bear
Massimo Dutti
Chanel (pour certaines lignes)
Ces marques proposent une large gamme de vêtements : t-shirts, chemisiers, jeans, baskets, vestes, pulls, vêtements décontractés ou habillés, adaptés à tous les styles et toutes les saisons.
L’industrie textile vietnamienne : innovation, qualité et durabilité
Le secteur du textile-habillement au Vietnam est en pleine mutation, misant sur la transformation numérique, l’économie circulaire et la durabilité environnementale. Les fabricants investissent dans des matières recyclées, du coton bio, des procédés de teinture écologiques et des conditions de travail éthiques, répondant aux exigences des grandes marques mondiales et des consommateurs soucieux de la planète.
Conclusion
Le Vietnam s’impose comme une référence incontournable pour la mode moderne, alliant créativité, qualité et responsabilité. Que vous recherchiez une jupe à volants, une chemise à carreaux, un t-shirt imprimé, un jeans slim ou un pull en maille, vous trouverez au Vietnam des vêtements pour toutes les envies et tous les styles, signés par les plus grandes marques locales ou internationales.
FAQ – Vêtements modernes fabriqués au Vietnam
Quels types de vêtements sont fabriqués au Vietnam ?
Des jupes, vestes, chemisiers, jeans, t-shirts, pulls, baskets, robes, pantalons, blouses, vêtements à bretelles, brodés, imprimés, à rayures ou à pois, en lin, coton, maille, velours, etc.
Quelles sont les principales marques vietnamiennes ?
Viet Tien, Yody, Eva De Eva, Coco Sin, Metiseko, Ren Boutique.
Quelles grandes marques internationales produisent au Vietnam ?
Uniqlo, H&M, Nike, Levi’s, Adidas, Pull&Bear, Massimo Dutti, Chanel, entre autres.
Le Vietnam produit-il des vêtements durables ?
Oui, l’industrie s’oriente vers des matières écologiques (coton bio, tissus recyclés) et des pratiques responsables (économie circulaire, certifications internationales).
Où acheter des vêtements fabriqués au Vietnam ?
Dans les boutiques des marques locales, les centres commerciaux, les marchés, ou en ligne sur les sites officiels des marques et plateformes internationales
Aujourd'hui, observer les Vietnamiennes dans la rue revient à contempler un défilé de mode quotidien rempli d'élégance et de diversité
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